Miserere mei, Deus

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Miserere
Naïve /Ambronay, E8846
2001

Choc du Monde de la Musique, Orphée d’Or de l’Académie du disque lyrique, Premio Internazionale del Disco Antonio Vivaldi (Italie), « Disc of the Month » à la BBC

Psaume 51 (Miserere mei Deus), mis en musique par :
- Gregorio Allegri (1582-1652)/ Tommaso Bai (v.1582-1658) (manuscrit du Vatican du 1892),
- Francesco Scarlatti (1666-v.1741),
- Leonardo Leo (1694-1744),
- Moro da Viadana (1560-1627)

Christus factus est de Leo et anon (plainchant)

 

Catherine GREUILLET, Marie-Pierre WATTIEZ, Sophie DECAUDAVEINE (soprani)
Gemma COMA-ALABERT, Brigitte VINSON (mezzo-soprano), Vincent DARRAS, Christophe LAPORTE (alti),
Bruno BOTERF, Vincent BOUCHOT (tenors), François FAUCHE, Paul WILLENBROCK (basses)
Virginie DESCHARMES, Mieke AUGUSTIN (violons), Michel RENARD (alto)
Pauline WARNIER (violoncelle), Yannick VARLET (orgue)

Nous pouvons vous envoyer le disque directement chez vous par la poste, n’hésitez pas à nous contacter pour avoir plus d’informations.
We can send it to you by post, please contact us for details.

Extraits musicaux / Musical extracts: 

Gregorio Allegri / Tommaso Bai, Miserere mei Deus a 9 voci

Gregorio Allegri / Tommaso Bai, Miserere mei Deus a 9 voci #2

Francesco Scarlatti, Miserere mei Deus a 5 voci, 4 strumenti e basso continuo

Francesco Scarlatti, Miserere mei Deus a 5 voci, 4 strumenti e basso continuo #2

Leonardo Leo, Miserere mei Deus a 8 voci e organo

« La musicalité de l’ensemble, le savant dosage des nuances, la qualité des voix solistes sont exemplaires. »
CHOC du Monde de la Musique

« Si ce disque est un must, ce n’est pas seulement parce que les œuvres sont peu connues, mais aussi parce que le chant est si séduisant. »
BBC Music Magazine, mars 2002

« It is not, moreover, merely the unfamiliarity of this music that makes this disc a must but the haunting seductiveness of the singing. »
BBC Music Magazine, Mars 2002

« Enfin, un nouveau CD qui m’a laissé complètement pantois. Je n’ai même pas pu prendre mon café pendant que je l’écoutais, tellement c’est fascinant et beau. »
BBC Radio 3, novembre 2001 (traduction)

« Finally, a brand new CD that had me totally bewitched – I couldn’t even pick up my coffee while this was on ! It’s fascinating and very beautiful. »
BBC Radio 3, November 2001

« Les interprètes de l’ensemble William Byrd ont une telle sensibilité de timbres qu’on n’a jamais le sentiment d’une affectation. C’est céleste. »
Midi Libre, Janvier 2002

« Les voix sont pures, célestes et maîtrisées … O’Reilly se fait chatoyant, attentif aux moindres détails, privilégiant l’aspect épuré et céleste de l’harmonie, et le timbre presque juvénile de Catherine Greuillet fait merveille.  »
Classica, Décembre 2001

« L’Ensemble William Byrd de Graham O’Reilly est un ensemble réunissant des voix solistes d’une beauté exceptionnelle ; des voix d’une pureté parfait, aussi irréelles que la voix des anges, palpitant dans l’espace avec une sensualité extatique… Cette version retrouvée au Vatican … surpasse en beauté tous nos souvenirs : le temps y est hypnotique. »
Art et Fugue, A.R.

« Admirable interprétation de l’Ensemble William Byrd sous tendue par une extrême ferveur doublée d’une grande rigueur expressive qui vos prennent à la gorge. Un grand moment d’émotion religieuse. » 
Vaucluse Hebdo

« Le célèbre Miserere d’Allegri tient le haut de l’affiche ici, bien sûr, mais… c’est la version de l’œuvre conservée dans « un manuscrit longtemps ignoré et auparavant caché dans la bibliothèque du Vatican », écrit par le dernier directeur du Chœur Papal, Domenico Mustafà. L’objectif principal de Mustafà était de préserver l’ornementation luxuriante, emmenant la voix du castrat vers la stratosphère, dont l’œuvre s’était affublé dans la première partie du XIXème siècle.
L’Ensemble William Byrd donne une interprétation saisissante de cette version redécouverte. Les soprani, planant au-dessus des voix inférieures plus sobres, sonnent, j’imagine, comme ont dû sonner les castrats, avec une sonorité puissante et théâtrale qui reste néanmoins pure et sous contrôle.
Si la plupart des mélomanes achèteront ce disque pour l’œuvre d’Allegri, l’art de marier la théâtralité à la contemplation que l’on retrouve chez Leo est marginalement plus satisfaisante, comme l’est également la très belle interprétation de l’Ensemble. »
Christopher Price, International Record Review (traduction)

“Allegri’s famous Miserere gets top billing here, of course. However … it is the form of the work preserved in ‘a long-overlooked and once-secret manuscript in the Vatican library’ written by the Papal Choir’s last director, Domenico Mustafà. … and Mustafà’s main purpose was to preserve the luxuriant stratospheric castrato ornamentation with which the work had become encrusted in the early 19th century. …
Ensemble William Byrd’s performance of this rediscovered version is compelling. The sopranos, rising above the more sober lower voices, sound much as I imagine castratos did: powerful and theatrical, yet pure and controlled.
…Though most people will buy this disc for the Allegri, Leo’s particular blend of theatricality and contemplation is marginally more satisfying, as is the Ensemble’s beautiful performance of it.”
International Record Review, Christopher Price

« L’ensemble vocal français Ensemble William Byrd donne cette œuvre avec neuf voix non accompagnées. L’effet est sensationnel, tant par l’expression ardente et intense du texte et de l’ambiance que par la sonorité, riche et immédiate, de cet enregistrement, pris dans l’acoustique idéal de l’Abbaye de Fontmorigny. C’est rare d’entendre un chef d’œuvre trop connu sous un jour complètement nouveau, comme c’est le cas ici, et c’est une occasion à ne pas rater.
Un autre chef d’œuvre figure parmi les autres œuvres au programme : la mise en musique par Leonardo Leo du même Miserere. L’Ensemble William Byrd aborde l’œuvre avec la même attention et le même engagement qu’il consacre à celle d’Allegri. A la fin de l’écoute, on n’a qu’une envie : recommencer. La prise de son de Naïve procure une impression de proximité qui donne un certain ‘bourdonnement’ aux harmonies, un côté viscéral au chant. C’est le genre de prise de son tant recherchée par les amateurs de musique chorale, qui, par sa clarté, sa présence et la reproduction vraie et naturelle des voix, vous plonge au cœur de l’interprétation. Pas de pâte sonore informe pour les voix intérieures, pas de basse boueuse, pas de soprano trop appuyé. C’est du très beau chant d’ensemble, dans une prise de son experte. Dans un programme déjà inoubliable, les œuvres de Francesco Scarlatti (merveilleusement interprétées avec cordes et orgue) et de Viadana (pour deux ténors et orgue) sont les cerises sur le gâteau. Les commentaires par le chef Graham O’Reilly sont exemplaires. Un disque à ne pas rater. »
David Vernier, classicstoday.com (traduction)

“The French vocal group Ensemble William Byrd performs the work with nine unaccompanied voices …  and the effect is stunning, both in terms of the ardent, intense expression of the text and mood and in the vibrant sound, ideally recorded in France’s Abbaye de Fontmorigny. It’s rare that we get to experience an old, too-familiar masterpiece in an entirely new light, and this is one such experience that shouldn’t be missed.
The other works on the disc include another masterpiece …Leonardo Leo’s own setting of the Miserere … the Ensemble William Byrd gives this the same involving, committed attention it lavishes on the Allegri, and all one can do when it’s over is press the repeat button.
The Naïve disc brings a close perspective, resulting in a ‘buzz’ to the harmonies and a visceral aspect to the ensemble singing. This is the kind of recorded choral sound that choral fans long to experience – one that brings you right into the performance by virtue of its clarity, immediacy, and the natural, true reproduction of the voices. No smooshing around with the inner parts, no muddy bass, no overly prominent soprano. This is great ensemble singing, expertly recorded. The Francesco Scarlatti (beautifully performed with strings and organ) and the Viadana (for two tenors and organ) are bonuses in an already unforgettable programme. The notes by conductor Graham O’Reilly are excellent. Don’t miss this”.
David Vernier, classicstoday.com